2015 Château Ducru-Beaucaillou
Détails du produit
Description
Caractéristiques
N° article
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0461215 |
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Notation
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James Suckling 97/100 | Jeb Dunnuck 96/100 | Parker 97/100 | René Gabriel 19/20 | Wine Enthusiast 95–97/100 | Score 19/20 |
Végan
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Non spécifié |
Sous-région
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St-Ju |
Vol. alcool
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13.5% |
Suggestions de service
Suggestions de service
Pourpre-grenat saturé, dense au centre, lueur lilas sur le disque. Jamais encore au cours des dégustations en primeur un Ducru n’avait été si moelleux. Rond et presque opulent, voire complexe, c’est une explosion de mûres et de cassis. La débauche de fruits continue en bouche, avant de laisser place à l’astringence, révélant l’immense potentiel de ce grand vin qui devient alors exigeant et presque sévère, jusque dans la finale puissante et extrêmement longue. A l'inverse d’autres crus, la récolte a été plutôt faible avec environ 35 hl/ha. Il sera élevé dans des barriques 100% neuves, pour une durée estimée de 18 mois. C’est un grand Ducru comme il y en a eu une belle série au cours de ces dernières années.
S'accorde avec
Recommandation de service
À l'apogée
jusqu'en 2060
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Sélectionné par Movenpick
Producteur

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Château Ducru-Beaucaillou
L’histoire du domaine remonte à loin, mais ce n’est que lorsque le marchand Bernard Ducru a acquis la propriété à la fin du XVIIIe siècle, investi dans la cave et le vignoble et chargé l’architecte parisien Paul Abadie de construire une chartreuse que la qualité des vins s’est améliorée et que l’intérêt international a progressivement augmenté. Son engagement a finalement conduit ses descendants à ajouter le nom de famille Ducru à celui de Beaucaillou, qui signifie «belles pierres» en français. À la fin du XIXe siècle, le célèbre architecte Michel-Louis Garros, sous la direction de Nathaniel Johnston IV, a agrandi le domaine en y ajoutant deux tours victoriennes qui confèrent aujourd’hui au bâtiment son aspect unique. En 1941, le château est devenu la propriété de la famille d’entrepreneurs français François Borie, qui en est toujours propriétaire aujourd’hui. Depuis 2003, il est dirigé par Bruno-Eugène Borie, l’un des rares propriétaires de vignobles à Bordeaux à vivre dans son magnifique château. Ce n’est pas étonnant, car outre les vignobles soigneusement entretenus, le domaine de 105 hectares offre suffisamment d’espace pour un parc de cinq hectares avec des parterres de fleurs colorés, des jardins d’épices et potagers variés, des forêts de cèdres et un étang idyllique.
Où le gravier façonne le caractère
En se promenant dans le vignoble, on marche sur des millions d’années de graviers alluviaux, d’éclats de silex et de résidus de quartz – des sols pauvres et perméables qui confèrent aux raisins un caractère aromatique unique. Le cabernet sauvignon occupe environ 70% de la superficie viticole, le reste étant consacré aux cépages merlot, petit verdot et cabernet franc. Les vignes, qui produisent un rendement annuel de 35 à 40 hectolitres de vin par hectare, ont environ 40 ans. La rivière Gironde, toute proche, a une grande influence sur la maturation des raisins, car elle protège les vignes des fortes variations de température. Pour obtenir une qualité optimale, on mise sur une réduction rigoureuse du volume de récolte, qui est ensuite sélectionné de manière efficace et minutieuse sur des tables de tri extra-longues après la récolte. Dans la cave à vin, des cuves coniques en acier inoxydable à température régulée permettent une vinification individuelle des différents cépages et parcelles. Sous l’œil attentif de l’œnologue consultant Eric Boissenot, chaque lot est dégusté plusieurs fois au cours de la période de maturation afin de s’assurer qu’il correspond au vin final. À la pointe de la technologie et tourné vers l’avenir, Ducru-Beaucaillou ne laisse rien au hasard. Son propre centre de recherche et développement, doté de sa propre station météorologique, fournit régulièrement des évaluations et des analyses et crée les conditions idéales pour un travail contrôlé dans le vignoble et dans la cave. Depuis toujours, le domaine poursuit l’idée d’une agriculture durable. Les engrais sont évités et remplacés de manière intelligente par un enherbement durable et un compostage à base de fumier et de compost de qualité. Pour lutter contre les vers de la grappe, on utilise des phéromones et de l’argile kaolinite à la place des insecticides, le tout dans le sens d’une culture durable , dans le plus grand respect de la nature et de la préservation d’un écosystème sain dans le vignoble.
Régions viticoles
