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2021 Château Laroque
Le Château Laroque est composé de 98 % de merlot et de 2 % de cabernet franc pour le millésime 2024. En raison des caprices de la météo, le rendement a été de 41 hectolitres, ce qui correspond à une production de moins de 5500 bouteilles par hectare. Laroque séduit par un bouquet enivrant et complexe au nez, une texture soyeuse et une richesse d’extraits juteuse au palais ainsi qu’une finale concentrée et longue avec une profondeur minérale.
Détails du produit
Description
Le Château Laroque est composé de 98 % de merlot et de 2 % de cabernet franc pour le millésime 2024. En raison des caprices de la météo, le rendement a été de 41 hectolitres, ce qui correspond à une production de moins de 5500 bouteilles par hectare. Laroque séduit par un bouquet enivrant et complexe au nez, une texture soyeuse et une richesse d’extraits juteuse au palais ainsi qu’une finale concentrée et longue avec une profondeur minérale.
Caractéristiques
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N° article
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1009121 |
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Notation
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James Suckling 93/100 | Antonio Galloni 93–95/100 | Jeb Dunnuck 93/100 | WeinWisser 18+/20 |
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Elevage
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en Barrique |
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Viticulture
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Traditionnelle |
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Végan
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Non spécifié |
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Sous-région
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St-Emi |
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Vol. alcool
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14.5% |
Suggestions de service
Suggestions de service
Pourpre profond, centre impénétrable, disque rubis tendre. De belles notes de violettes et de pralinés au chocolat rehaussent le bouquet gourmand de myrtilles des Alpes mûres et de thé aux fruits des bois fraîchement infusé. Bouche subtile et soyeuse, racée et soutenue, aux tannins cacaotés, avec une extrait légèrement salé et un corps musclé. Finale vibrante aux arômes de jus de griottes et de confiture de mûres, sur une sublime astringence.
S'accorde avec
Recommandation de service
Convient à la consommation
2027–2046
Zur JahrgangstabelleAlternatives recommandées
Sélectionné par Movenpick
Qui l'a produit ?
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Château Laroque
La renaissance d’un domaine chargé d’histoire
Au point le plus haut des plateaux calcaires de Saint-Émilion trône le Château Laroque, une propriété impressionnante avec une histoire tout aussi impressionnante qui remonte au 12e siècle. Propriété de la famille Beaumartin depuis 1935 et aujourd’hui dirigé par David Suire, le château a connu une renaissance remarquable ces dernières années et est devenu une star montante qui allie la buvabilité moderne à l’élégance classique de Saint-Émilion. Fils de vigneron et aujourd’hui œnologue, il dirige le Château Laroque avec beaucoup d’ambition et l’objectif d’exprimer ce grand terroir avec des vins éclatants, aidé en cela par une vingtaine de collaborateurs passionnés, dont Noémie Bonjoux dans les vignes et Marie-Aglaë Fougère dans les chais.
Le calcaire assure la précision et la fraîcheur
Les 61 hectares de vignes s’étendent sur un plateau de calcaire pur qui, telle une éponge, emmagasine l’eau de pluie et la restitue uniformément aux vignes lors des étés secs. Ce sous-sol marque les vins de Laroque d’une structure exceptionnellement précise, leur confère fraîcheur et minéralité.Au-dessus de la roche, une fine couche d’argile fournit aux vignes des nutriments essentiels tout en emmagasinant la chaleur. Le climat est typique de Saint-Émilion : un printemps tempéré et pluvieux et des étés chauds - idéal pour une maturation lente et continue des raisins. Les vignobles se trouvent à une altitude d’environ 100 mètres au-dessus du niveau de la mer - une situation qui assure non seulement un ensoleillement optimal, mais qui favorise également le refroidissement nocturne et donc la formation d’arômes, ainsi que l’équilibre entre le fruit et l’acidité.
Le merlot en point de mire
Le cépage principal chez Laroque est le merlot, complété par du cabernet franc et une petite part de cabernet sauvignon, les vignes ont en moyenne 50 ans. Dans la cave, Suire mise sur une vinification douce : chaque parcelle est vinifiée séparément afin de faire ressortir avec précision le potentiel du terroir. L’extraction se fait en douceur afin de préserver la structure élégante des vins. L’élevage se fait principalement en fûts de chêne français, la part de bois neuf étant volontairement réduite afin de ne pas masquer le fruité et la fine minéralité.
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